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❄️ 🤑 Générer des €€ avec un side business

Comment générer des revenus passifs grâce à un ou plusieurs side business.
Par
Yoann Lopez
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Sommaire

Hey Snowballers !

Les side business, ou le fait de pouvoir générer de l’argent de façon plus ou moins passive via de petits (ou gros) projets à côté de son boulot, font rêver beaucoup de personnes ! J’en parle d’ailleurs très régulièrement ici. Pourquoi ?

Tout d’abord, parce que j’adore construire des trucs et je trouve ça intellectuellement intéressant. Snowball était d’ailleurs un side project en mars 2020, puis un side business en avril 2020, pour devenir finalement mon business principal en août 2020.

Ensuite, parce que dans l’univers des finances perso, il n’y a pas que l’investissement en Bourse, dans les cryptos ou dans l’immobilier. Si vous avez une activité qui vous permet de générer de l’argent, c’est aussi une forme d’investissement.

D’ailleurs, cette semaine semble être la semaine des side projects, vu que j’ai annoncé le premier projet soutenu par Snowball via le programme Build in Public (RDV sur le site de Snowball is vous avez raté l’info).

Sinon, avant de se lancer dans le vif du sujet, j’ai une super boîte à vous présenter…

👩‍🏫 Yoann, j’aimerais investir simplement en immobilier, sans avoir à faire un prêt de 300 000 euros et sans avoir à gérer l’achat d’un bien et un locataire. C’est possible ?

C’est tout à fait possible en investissant dans ce qu’on appelle des SCPI (c’est d’ailleurs un des side business proposé dans cette newsletter).

Une SCPI, c’est une Société Civile de Placement Immobilier qui va utiliser les fonds de plusieurs investisseurs comme vous et moi pour acheter plusieurs biens immobiliers mis en location. Les revenus des locations seront en grande partie redistribués aux investisseurs.

C’est donc un excellent moyen :

  • D’investir dans l’immobilier avec quelques milliers d’euros sans se soucier de l’achat ou de la gestion des biens.
  • De profiter d’un revenu passif potentiel en recevant régulièrement des dividendes.
  • De diversifier instantanément ses investissements immobiliers.
  • D’utiliser l’effet de levier en empruntant de l’argent à votre banque pour ensuite acheter des parts de SCPI.

🚨 Gardez en tête qu’investir dans une SCPI n’est pas sans risques. Une perte en capital est possible. Les rendements et la liquidité ne sont pas garantis. Si vous empruntez pour investir, n’oubliez pas qu’un crédit vous engage et doit être remboursé.

Le monde des SCPI reste encore extrêmement traditionnel (du papier et des frais) et loin de l’expérience des produits tech que nous avons l’habitude d’utiliser au quotidien.

💡 C’est pour cette raison que j’ai accepté Iroko en tant que sponsor. Iroko, avec sa SCPI Iroko ZEN, c’est un peu le Revolut de la SCPI : 100 % en ligne, une interface simple et de la tech au service des utilisateurs.

🔮 Les avantages d’Iroko Zen ?

  • Un taux de distribution de 7,1 % en 2021. Les performances passées ne présagent pas des performances futures.
  • Une stratégie d’investissement basée sur les tendances du secteur. Par exemple, ils investissent moins dans les bureaux (essor du télétravail) et plus dans les entrepôts (essor de l’e-commerce).
  • Pas de frais d’entrée (habituellement autour des 10 % selon l’IEIF !).
  • 1
  • Une SCPI labellisée ISR (Investissement Socialement Responsable) qui investit 20 % de ses résultats dans l’amélioration de son parc immobilier d’un point de vue environnemental et social.

🎁 Vu qu’Iroko aime bien la communauté Snowball, en utilisant le code SNOWBALL sur leur site, vous pourrez choisir de recevoir une surprise festive ou végétale.

📊 Vous voulez simuler un investissement ? RDV sur le simulateur d’Iroko (n’oubliez pas le code SNOWBALL si vous vous inscrivez).

Alors, vous êtes prêts pour entrer dans cet univers fantastique des side business et en ressortir avec deux-trois idées que vous pourrez faire mûrir ?

Let’s go!

P.-S. : Cette édition est loiiiiiiiiiin d’être exhaustive. Si vous avez d’autres exemples, n’hésitez pas à les partager en commentaire. Aussi, elle est relativement longue. Je vous conseille de l’ouvrir dans votre navigateur web en cliquant sur le titre pour la lire en entier.

P.-S Bis : Aucun lien de cette newsletter qui renvoie vers des outils n’est affilié.

Introduction : pourquoi lancer un side project ?

Avant de commencer, il faut savoir qu’un side project n’est pas forcément quelque chose qui rapporte de l’argent. Un blog perso par exemple, est un side project. L’idée de side project est assez vague, mais en général, il s’agit d’un projet extrascolaire ou à côté de votre boulot/activité principale.

Depuis ma naissance en 1987, j’ai lancé pas mal de petits side projects :

  • Fabriquer des fusées et autres planeurs en balsa avec mon père.
  • Fabriquer des flèches polynésiennes avec mon père.
  • Tenter de fabriquer du Napalm avec du nitrométhane (utilisé dans le carburant pour les voitures thermiques) et du polystyrène.
  • … Je vais vous passer tous mes projets d’enfants…
  • Pendant un moment, je me suis amusé à acheter des lunettes Snapchat qui n’étaient dispos qu’aux US pour les revendre plus cher en France. Un mec est même venu un jour m’en acheter 4 paires pour les enfants d’un prince des Émirats qui séjournait dans un palace parisien… En deux semaines, j’ai dû me faire un peu plus de 1000 euros.
  • J’ai lancé Happenstance avec une amie autour en 2016. Le but était de mettre en relation deux personnes au hasard par mail une fois par mois. Une sorte de « correspondance » des temps modernes. C’était une expérience incroyable ! J’ai reçu plusieurs retours d’utilisateurs qui me disaient que grâce à Happenstance ils avaient rencontré l’amour de leur vie ou encore qu’ils avaient noué des amitiés très fortes. J’ai moi-même discuté des mois avec Zarko, un suédois, avec qui nous échangions de très longs mails sur des sujets relativement profonds (les enfants, l’amour, etc.). Un autre truc un peu fou. Un jour, je reçois un mail d’une boîte de prod américaine qui a vu le projet passer je ne sais où (on avait eu pas mal de retombées médiatiques) et qui voulait en faire une émission de téléréalité aux US sur MTV. Évidemment, ça n’a jamais abouti, mais c’était top. D’ailleurs j’aimerais bien relancer ce projet un de ces jours. Il faut juste trouver le moyen d’automatiser tout ça avec un peu de tech ou de no/low-code. Si quelqu’un est chaud pour me donner un coup de main, répondez à cet e-mail. ;)
  • Avec Christophe, un ami rencontré chez Withings, nous avons aussi lancé Unmakr, un projet dans lequel on s’amusait à démonter des objets iconiques pour ensuite faire de belles photos de toutes les pièces qui composent ces derniers et en faire un article pour expliquer l’origine du produit tout ça tout ça.
  • Mon rêve serait d’en faire un livre et d’interviewer les gens qui ont contribué au lancement de ces produits. Le « Product Manager » en charge du développement de la première Game Boy, la personne en charge de la campagne marketing du premier iMac…
  • Mon YOLO report que j’écris chaque année est aussi en quelque sorte, un side project. Chaque année, je m’amuse à noter dans un article de blog public, plein de datas de ma vie perso pour retracer ce qu’il s’est passé dans l’année. Cela peut paraître inutile, mais c’est grâce à lui (en partie) que j’ai eu mon ancien job de directeur marketing chez Comet et c’est aussi grâce à lui que j’ai lancé Snowball. En effet, pour la première fois en 2019, je parle de mes finances perso dans le YOLO Report et ayant reçu plein de questions sur ce sujet là, je me dis qu’il y a un truc à creuser.
  • Snowball. Mon dernier side project, qui est devenu très rapidement mon projet principal. Si la genèse de Snowball vous intéresse, j’ai tout détaillé dans mon autre newsletter sur les coulisses de Snowball : Behind the Curtain.

Bref, tout ça pour vous dire qu’un side project peut prendre plein de formes différentes et que même s’il ne rapporte pas d’argent directement, il peut être extrêmement enrichissant.

Cependant, l’objectif de cette édition est de seulement vous présenter des side projects qui peuvent générer des revenus. Des side business en gros.

Les objectifs d’un side business sont nombreux et peuvent dépendre de chaque personne et se combiner. Voici les principaux selon moi :

  • Augmenter ses revenus pour augmenter son niveau de vie. Quelqu’un qui gagne le SMIC ou un petit salaire peut décider de lancer un side business pour augmenter son niveau de vie.
  • Avoir plus de temps libre. Une personne peut décider de ne travailler que 3 jours par semaine (en CDI ou en freelance) et de compléter le manque de revenus par des revenus générés par un side business.
  • Diminuer le risque de voir ses revenus disparaître. En aviation, il existe une notion de single point of failure. En gros, c’est une pièce ou une commande (ou une personne) qui peut faire crasher l’avion si elle n’est plus fonctionnelle. C’est pour cette raison que la grande majorité des pièces d’un avion et des commandes ont un backup (une solution de remplacement). Si une pièce lâche, une autre prend le relais. On parle de soft-failure. Pour vos revenus, il faudrait que ce soit similaire (idéalement). Si vous perdez votre job, avoir une ou plusieurs autres sources de revenus qui vous permettent de continuer à garder le même niveau de vie est non seulement rassurant, mais aussi important pour diminuer les risques (risque de devoir vendre un bien en urgence, risque de devoir déménager, etc.). Si vous avez cinq sources de revenus et qu’une lâche, ce n’est pas si grave.
  • Investir encore plus, pour s’acheter encore plus de temps libre dans le futur.
  • Financer un projet ou un hobby qui ne rapporte pas d’argent.
  • Aider les autres, investir dans des causes qui vous tiennent à cœur.

Avant de se lancer dans le concret, allons voir quelles sont les 4 grandes catégories de side business que vous pouvez lancer.

I/ Les 4 grandes catégories de side business

Pour nous aider dans la définition de ces 4 grandes catégories, nous allons nous appuyer sur les recherches de Justin Mares.

Pour commencer, selon lui, un projet doit répondre à 3 critères principaux pour porter le nom de side business :

  • Résoudre un problème relativement connu de toutes et tous. Vous ne voulez pas créer une nouvelle catégorie comme l’a fait Airbnb par exemple.
  • Un business qui ne demande pas trop de maintenance ou d’opérationnel. C’est le meilleur moyen de faire un burnout sinon.
  • Avoir un chemin extrêmement clair vers la rentabilité. Vous ne construisez pas Facebook.

Justin nous dit donc, qu’en prenant ces 3 critères, il existe 4 grandes catégories de side business que vous pouvez construire.

Acheter un business qui existe déjà

Pas besoin de trop creuser ici, c’est assez clair. Vous achetez simplement un projet qui a été lancé par quelqu’un d’autre et qui génère déjà des revenus (ou qui peut en générer facilement). En général, ce sont ces projets qui demandent le plus d’investissement dès le départ (mais pas toujours si vous pouvez faire financer ces derniers par une banque ou via d’autres moyens. On en reparlera plus bas).

Le meilleur exemple et le plus répandu en France, c’est l’achat d’un appartement ou d’une maison pour la mettre en location. Je vous donnerai d’autres exemples concrets dans la prochaine section.

Lancer un produit sur une place de marché avec une demande déjà existante

Ici aussi, l’idée est très simple en apparence. Vous cherchez une place de marché qui vend des produits avec lesquels vous êtes à l’aise et vous tentez de faire mieux (ou pareil) que les personnes qui réalisent de bonnes ventes. Par exemple, si vous êtes un pro d’Excel à destination des professionnels de santé (j’ai écrit ça vraiment au hasard), vous pouvez créer un cours sur Udemy et le vendre à des spécialistes de santé qui font face à ce problème. Il existe des centaines de places de marché dont Skillshare (education), Shopify App Store, Google Chrome Store, Amazon, etc.

Lancer un produit unique à destination d’une petite niche en se servant de publicités pour faire de l’acquisition

On est déjà sur un truc de plus complexe et qui demande un peu plus de temps au début et peut-être plus de maintenance.

Le but est donc de trouver un produit de niche qui peut être vendu à des milliers de personnes. Pourquoi de niche ? Pour éviter d’être en concurrence avec d’autres acteurs et donc de payer la pub trop cher.

Par exemple, je pense que Gauthier qui a développé un petit simulateur de calcul de rendement de location de voitures sur Getaround pourrait tout à fait créer une petite app avec Glide et ensuite acheter des mots-clés pour cibler les personnes qui veulent se lancer dans la location de véhicules. D’ailleurs, le fait de vendre ce simulateur qu’il a créé est clairement un petit side business ! Il a déjà vendu près de 40 produits en très peu de temps alors qu’il n’a pas fait de pub.

Faire de l’arbitrage. Acheter un produit 100 € ici, pour le vendre 150 € là-bas.

Vous vous souvenez de mon histoire de lunettes Snapchat Spectacles ? L’idée était simple, les acheter à un certain prix, pour les revendre plus cher :

L’arbitrage, c’est aussi le gros dada du fameux Gary Vee (parfois ennuyeux, mais qui peut être intéressant à petite dose) qui s’amuse à aller faire des brocantes aux US qu’on appelle des « garages sales » pour trouver des pépites qu’il revend ensuite sur eBay. Bon, il ne fait plus ça pour gagner de l’argent, car il l’est déjà, mais surtout, car ça génère beaucoup d’enthousiasme et d’engagement dans sa communauté et que c’est aussi un peu le symbole de la « hustle culture » qu’il propage : on peut tous gagner de l’argent en y mettant beaucoup d’effort… Il faut faire attention à cette « hustle culture » selon moi, car elle peut vite soit nous brûler, soit créer un sentiment d’échec, car cela paraît simple en apparence, mais en fait, pas du tout… Prenez toujours un peu de recul par rapport à tout ça. Même par rapport à ce que je peux écrire moi-même. J’ai beau ajouter des warnings un peu partout, mais il peut m’arriver de m’emballer ou d’oublier d’en mettre. Doutez toujours de ce que je peux dire.

Désolé, je me suis égaré, mais je tenais à le souligner…

Allons maintenant explorer le concret !

II/ Quelques idées concrètes et actionnables pour augmenter vos revenus plus ou moins facilement et avec plus ou moins de capital de départ nécessaire

On va tenter de classer les différents types de side business selon le coût d’entrée pour se lancer. Du plus faible au plus élevé.

⚙️ 🔧 Ah et si vous cherchez des outils simples à utiliser pour lancer un side project ou side business, je vous conseille ces deux ressources :

  • Verysaas.io lancé par Joackim Le Moniet, un membre de la communauté Snowball (et qui bosse d’ailleurs chez Dotmarket, un outil dont je vais parler. Verysaas vous permet de comparer des centaines d’outils no-code pour créer votre projet. Un outil no-code pour les non-initiés, c’est un logiciel en ligne qui ne nécessite aucune compétence technique pour développer des outils relativement puissants qui nécessitaient des développeurs il y a quelques années.
  • Makerpad est un site qui regroupe plein d’outils et de tutos qui peuvent vous aider à lancer des projets rapidement sans savoir coder.

→ 0 € d’apport

Augmentation de salaire/tarifs

  • Si vous êtes salariée : demander une augmentation de salaire.
  • Si vous êtes freelance : augmenter votre taux journalier moyen.

Je sais que ce n’est pas forcément possible pour tout le monde, mais c’est un bon point de départ. Surtout en période de forte inflation…

N’ayez pas peur, vous n’avez rien à perdre (je dis ça, mais je suis le premier à flipper face à ce genre de négociation… Si vous avez du mal seul, n’hésitez pas à vous faire accompagner. Il existe plein de coaches qui peuvent vous aider. Je ne sais pas ce qu’elles valent, car jamais testé et je n’ai pas eu de retours, mais Plan Cash propose deux formations sur le sujet pour un job existant ou pour un nouveau job.

Changer de job

La meilleure façon d’augmenter son salaire, c’est en général de changer carrément de job. Pas grand-chose à dire ici…

Vous êtes propriétaire d’une voiture que vous n’utilisez pas tous les jours ? Louez-la sur Getaround ou Ouicar.

Getaround et Ouicar vous permettent de louer simplement votre voiture quand vous ne vous en servez pas. Cela peut très vite vous rapporter quelques centaines d’euros par mois sans trop d’effort.

Louer tous les objets que vous pouvez louer.

Louer votre appart quand vous n’êtes pas chez vous ou une chambre libre si ça vous chauffe.

Quand vous partez en week-end ou en vacances, il est extrêmement simple de louer votre appart ou votre maison sur Airbnb. Surtout avec des services comme Keynest ou KeyCafe qui simplifient grandement la remise des clés. Il suffira de trouver une personne pour faire le ménage afin de ne pas trop vous faire perdre de temps. En général, les vacanciers qui vont louer votre appartement pour un seul week-end ne saliront quasiment pas votre appartement. C’est en tout cas le retour que j’ai eu d’une amie qui fait ça très régulièrement sur Paris.

Si vous aimez bien rencontrer des gens et que vous avez une chambre de dispo, n’hésitez pas à la louer aussi de temps en temps sur Airbnb.

Refinancer votre prêt immobilier ou regrouper des prêts

Vous avez contracté un prêt immobilier il y a longtemps avec un taux relativement élevé et fixe ? Vous pouvez tout simplement le faire racheter par une autre banque à un taux plus bas. Cela vous permettra donc de faire diminuer vos mensualités et donc d’augmenter vos revenus disponibles. Voici un article du gouvernement qui explique comment cela fonctionne.

💡 Vous pouvez également regrouper plusieurs prêts ensemble (à la conso, ou immo) pour obtenir un meilleur taux.

Afficher de la pub sur votre voiture

OK, ce n’est pas pour tout le monde. Mais selon cet article d’Ornikar, cela peut rapporter entre 70 € par mois et plus de 500 €/mois ! Votre voiture doit être récente et en bon état bien évidemment ! Je vois mal une marque sponsoriser votre vieille Renault Clio rouillée de 1997…

J’ai fait quelques recherches et il semblerait que la plupart des sites qui proposent ce genre de services soient fermés… Est-ce une chimère ? J’ai trouvé ce site qui semble fonctionner.

Je pense que c’est quelque chose qui fonctionnait bien dans les années 2000/2010, mais qui a perdu un peu de saveur pour les annonceurs à cause de la prise de conscience du réchauffement climatique…

En parlant de réchauffement climatique, je voulais vous présenter Goodvest que j’avais déjà évoqué naturellement dans une édition passée. Je suis donc très heureux de les accueillir en tant que Sponsor aujourd’hui.

Aujourd’hui, Snowball est également soutenue par Goodvest, la plateforme française qui vous permet d’investir en prenant soin du futur. Goodvest vous propose d’ouvrir une assurance vie qui est non seulement performante, mais qui correspond aussi à ce pour quoi vous voulez vous battre : Transition écologique, Accès à l’eau, ou encore Emploi et solidarité.

Goodvest analyse même l’empreinte carbone des entreprises et chaque portefeuille est conçu pour avoir une trajectoire climatique inférieure à 2 °C, conformément à l’Accord de Paris.

Les fonds sont sécurisés chez Generali, le 3e assureur européen.

Si vous souhaitez souscrire à une assurance vie Goodvest, utilisez le code SNOWBALL3 qui vous permettra d’obtenir 3 mois gratuits. Pour rappel, vous pouvez ouvrir autant d’assurance vie que vous souhaitez. 👇👇👇

→ Entre 10 € et 1000 € pour se lancer

Investir dans l’immobilier fractionné

🚨 Attention on rentre dans la catégorie qui comporte des risques de perte en capital et parfois de liquidités (difficile de revendre votre investissement si vous en avez besoin).

  • SCPI : Il existe des SCPI comme Iroko Zen qui est le sponsor d’aujourd’hui ou encore Louve Invest, un service qui vous permet d’investir dans plus de 50 SCPI, dont Iroko Zen. Pour rappel, une SCPI vous permet d’obtenir de potentiels dividendes en redistribuant une grosse partie des revenus locatifs aux investisseuses.
  • REITS : il s’agit de fonds cotés en Bourse aux US qui n’achètent que de l’immobilier pour reverser les loyers sous forme de dividendes aux actionnaires. J’en parle plus en détail dans cette édition du Snow Report (premium).
  • L’immo fractionné : des plateformes comme Bricks, Livret P et bientôt Cazapart vous permettent d’investir en immobilier à partir de 10 € (100 € pour Livret P). Attention, je n’ai testé aucune de ces plateformes et je n’ai pas creusé les modèles économiques de ces dernières. Si vous voulez diversifier encore plus, vous avez l’équivalent aux US : Lofty.ai.
  • L’immo fractionné sur la blockchain : une plateforme comme RealT vous permet d’investir dans des maisons aux US à partir de quelques dizaines de dollars. Le tout fonctionne sur la blockchain. J’en parlais plus en détail ici.

Investir dans des actions qui rapportent des dividendes

Je ne vais pas m’attarder ici, mais il existe des centaines d’actions cotées en Bourse qui vous rapportent des dividendes régulièrement. Apple, Orange, la plupart des banques, etc.

Créer une newsletter que vous allez monétiser

J’aurais pu placer cette source de revenus dans la catégorie qui ne coûte rien, car vous pouvez lancer gratuitement une newsletter en utilisant un outil comme Substack (ce que j’utilise pour Snowball), mais à un moment ou un autre il faudra tout de même dépenser un peu d’argent dans certains outils (Google Suite, etc.).

Snowball est certainement l’exemple le plus parlant pour vous étant donné que vous êtes en train de lire cette newsletter ! En étant parti de 0, Snowball génère aujourd’hui plus de 250 000 euros par an rien qu’avec les abonnements mensuels.

Et je ne suis pas un cas isolé, loin de là. Certaines personnes se sont lancées après avoir été inspirées par des newsletters comme Snowball et cartonnent 🙌 :

  • Les Cryptos de Caro qui génère plus de 20 k€ par mois (sponsoring essentiellement).
  • Fortress Club qui compte maintenant des centaines d’abonnés payants.
  • Beatmarket avec des revenus inconnus et qui génèrent certainement des revenus via son sponsoring avec Quantfury.

Je pourrais écrire un article entier sur les newsletters, mais sachez simplement que vous n’êtes pas obligés d’avoir une audience gigantesque pour commencer à monétiser votre contenu. Plus votre audience sera une audience de niche, plus les sponsors s’intéresseront à vous. Par exemple, si vous ciblez les experts-comptables, il se peut que des sponsors qui vendent des outils à ces derniers soient très intéressés par votre newsletter même si elle ne compte que quelques centaines de lecteurs. Et si vous souhaitez aller sur le chemin de l’abonnement, même si vous n’avez que 500 abonnés et que seulement 10 % payent un abonnement à 5 euros par mois, cela fait tout de même 250 euros par mois ! Il faut bien commencer quelque part.

Si vous voulez savoir comment j’ai lancé Snowball, je vous laisse lire cette édition sur le lancement (en anglais) et celle-ci sur la monétisation.

Lancer un média est un des leviers les plus puissants pour générer des revenus. Vous pouvez également vendre d’autres services via ce média (formations, conseil, etc.). La newsletter est un média parmi tant d’autres. Vous pouvez également créer une audience sur YouTube, sur LinkedIn, sur TikTok, sur Twitter, etc.

On va voir plus loin, que vous puissiez également acheter des newsletters ou médias déjà existants.

Créer un produit numérique et le vendre

Comme évoqué dans la première partie avec l’exemple de Gauthier, vous pouvez très bien créer un produit numérique et le vendre en ligne comme l’a fait Gauthier avec son simulateur de rendement de location de véhicules.

Ici, les possibilités sont infinies. Trouvez un problème, créez une solution en ligne et vendez-la ! Quelques idées en vrac :

Ici le plus dur n’est pas forcément de créer le produit, mais plutôt de le diffuser. C’est pour cette raison que le plus important, c’est tout d’abord de réussir à créer une communauté. Soit autour d’un blog, soit autour de votre profil LinkedIn, soit autour d’une chaîne YouTube, etc. Ensuite, il sera plus simple de vendre vos produits à votre communauté si ça peut l’aider.

Quelques outils utiles pour lancer un produit facilement :

  • Gumroad → vendre simplement en ligne n’importe quoi.
  • Udemy → une place de marché pour vendre ses formations.
  • Kindle → publier directement votre livre sur Amazon.

Vendre vos conseils

Si vous êtes experts sur un sujet, vous pouvez simplement vendre vos conseils sans forcément être un freelance à temps plein sur le sujet.

Pendant que j’étais employé chez Comet, une startup spécialisée sur la mise en relation de freelances avec de grands groupes, j’ai réussi à me faire quelques centaines d’euros en étant un expert sur la plateforme GLG. Le plus souvent, j’étais payé plus de 100 euros pour une heure au téléphone.

Pour vous inscrire sur GLG, c’est par ici.

Vous pouvez également passer par Malt et ne bosser que quelques heures par mois.

Et pour finir, si vous avez la renommée d’Oussama Amar, vous pouvez simplement utiliser un Calendly (un petit outil qui permet aux gens de booker des meetings avec vous) et le partager à votre réseau. Oussama vend un call de 30 minutes 299 €.

À la place de Calendly, j’ai récemment trouvé un outil nommé Bookk.me qui est justement dédié au fait de vendre des heures de meeting à des clients.

→ Entre 1000 € et 10 000 € pour se lancer

On arrive sur du plus sérieux, avec un investissement de départ plus important. Qui dit investissement plus important, dit risque plus important. En effet, si vous lancez une newsletter sans rien débourser et que ça ne marche pas, vous aurez certes perdu du temps (qui est très précieux), mais pas de l’argent. Alors que là, vous pouvez clairement perdre du capital. Gardez bien ça en tête. Pour financer ce genre de projet, vous pouvez utiliser de l’argent que vous avez de côté et parfois un prêt à la consommation. En cas de prêt, le risque est encore plus élevé, car si vous perdez l’argent, vous devez tout de même rembourser la banque. S’il vous plaît, ne vous mettez pas en danger. Réfléchissez toujours à ce qu’il se passera en cas de scénario catastrophe.

Acheter une voiture pour la mettre en location

J’ai déjà fait ça plusieurs fois avec différents véhicules sur Paris et je n’ai jamais été déçu. J’en ai d’ailleurs parlé en détail dans cette vieille édition Snowball (que je vais mettre à jour prochainement d’ailleurs).

Pour vous donner un exemple concret, je loue en ce moment un Peugeot Partner à Paris que j’ai payé 7500 euros. Voici les revenus générés par ce dernier depuis le début de l’année :

Il faut bien évidemment soustraire l’assurance, l’entretien, le parking, etc., mais cela reste tout de même un investissement bel et bien rentable et qui ne nécessite quasiment aucune activité de votre part. Encore moins depuis le lancement de Gustave, une conciergerie dédiée à la location de voitures que j’ai justement utilisée la semaine dernière ! Preuve à l’appui.

Louer un appartement pour le sous-louer sur Airbnb

Et oui, c’est tout à fait possible et légal. Le plus dur reste de trouver le propriétaire qui sera OK avec ça.

Je l’ai ajouté dans la catégorie “entre 1000 et 10 000 euros” pour se lancer, car il faut bien payer le premier loyer et la caution avant de pouvoir sous-louer le bien. Mais logiquement, ce premier apport sera vite remboursé.

Comme le dit Delphine Pinon, experte du sujet, c’est tout à fait légal :

En utilisant un bail de sous-location dérogatoire, rédigé par un avocat, vous pouvez exercer cette activité professionnelle en toute légalité.

Delphine avait un programme d’accompagnement pour se lancer dans ce business, mais il semblerait qu’elle soit en train de le retravailler.

Si vous voulez en savoir plus sur ce sujet, vous pouvez lire cet article complet d’Horiz.io.

Acheter un business déjà existant

Pour moins de 10 000 euros, il est parfois possible d’acheter un site ou média en ligne déjà existant. Cela peut sembler être une solution simple pour se lancer, mais attention, reprendre un business est toujours relativement difficile. Le faire grandir pour augmenter les revenus, encore plus difficile. Voici les principaux pour et contre d’acheter un business déjà existant :

Pour :

  • Fondations déjà présentes.
  • Notoriété déjà existante.
  • Plus simple de demander un prêt à une banque si le business génère déjà des revenus.
  • L’ancien propriétaire a certainement déjà résolu les principaux problèmes.

Contre :

  • Il faut souvent se mettre à niveau sur le fonctionnement de la machine.
  • Pour le transformer en quelque chose qui vous ressemble, cela demandera certainement plus d’efforts que de partir de 0.
  • Est-ce que le vendeur vous a tout dit ? Est-ce qu’il n’y a pas un vice caché quelque part. C’est pour ça que je trouve qu’il est toujours mieux de passer par une place de marché qui s’est occupée de vérifier la véracité des données du business.

Voici un exemple à moins de 10 000 dollars que j’ai rapidement trouvés sur Flippa :

Où acheter un business en ligne ? J’en parle dans la prochaine catégorie.

→ Entre 10 000 € et 100 000 € pour se lancer

Acheter un business en ligne déjà existant

Pour des prix plus élevés, vous aurez beaucoup plus de choix pour acheter des business en ligne. Voici la liste des meilleurs endroits pour en trouver :

Investir dans des droits musicaux (royalties)

Et oui ! Il est tout à fait possible pour le commun des mortels comme vous et moi de se payer des droits musicaux et de recevoir les revenus de ces derniers.

Par exemple, pour 55 000 dollars, vous pouvez acheter ce catalogue de 21 chansons qui a généré 5523 dollars lors des 12 derniers mois (rendement de 10 %).

L’univers des Royalties est relativement complexe et je connais trop peu ce dernier. Il mériterait (comme la plupart des exemples abordés dans cette édition) une newsletter dédiée. On en reparlera donc.

Le leader du marché est Royalty Exchange (accessible aux personnes françaises).

Investir dans des parkings

Franchement, j’ai entendu tout et son contraire ici, donc je n’ai vraiment pas d’avis sur le sujet. Il faudrait vraiment que je creuse tout ça un de ces jours.

Alexandre Lacharme est un expert du sujet et il en a justement parlé sur le podcast La Martingale ici et vous avez plein de liens vers ses contenus sur son Linktree ici.

Selon lui, via des chiffres de monsieurparking.com, le retour sur investissement serait compris entre 6 et 11 % dans les grandes villes de France.

L’avantage du parking, c’est un prix d’entrée plus faible qu’un appartement et aussi, beaucoup moins d’emmerdes, car le coût d’entretien est de 0 (ou presque).

Bref, à creuser.

Acheter un appartement dans une petite ville ou petit village pour le louer

Il existe des milliers d’appartements à vendre avec des prix inférieurs à 100 000 euros et qui génèrent pourtant de beaux rendements. Il n’y a pas que Paris, Marseille ou Bordeaux. Vous pouvez également explorer de petites villes ou villages en Provence, en Auvergne, etc.

Investir dans des distributeurs automatiques

Un distributeur automatique d’occasion coûte aux alentours de 2000 euros. Un neuf entre 3000 et 10 000 euros selon les modèles.

C’est un business qui demande pas mal de temps et d’énergie, mais une fois qu’il est lancé et que vous générez assez d’argent, vous pouvez très bien déléguer toute la partie approvisionnement, maintenance, etc.

Un distributeur automatique peut rapporter entre 140 et +500 euros par mois selon les emplacements et le type de produits vendus.

J’ai trouvé cet article qui décortique pas mal le sujet si ça vous intéresse.

→ Entre 100 000 euros et +1 million d’euros pour se lancer

Bon, on est à la limite de la notion de side business, car la plupart du temps ce genre de projets nécessite d’y dédier beaucoup de temps (mais pas forcément).

Acheter un business physique ou un gros business en ligne

Très similaire à l’achat d’un petit business en ligne, mais beaucoup plus complexe et beaucoup plus lourd à gérer (notamment sur le financement tout ça).

Il y a peu de temps, Matthieu Stefani (La Martingale, GDIY, Cosa Vostra…) et Thomas Colin ont lancé Alvo, une place de marché qui vise à faciliter et dynamiser la transmission d’entreprises. C’est donc une place de marché sur laquelle vous pouvez acheter de belles entreprises françaises.

On peut par exemple y trouver ce genre d’entreprise :

L’actif présenté est une marque de montres 100 % made in France. Vendu à 100 % en ligne (site web + marketplace BtoC et marketplace BtoB). 100 k€ de CA annuel sans acquisition pour 0 h de travail --> 30 K Ebitda en 2021 --> 100 % sous-traitance.

Prix : 150 000 euros.

Aux US, il existe un service similaire nommé Business Exits. Difficile pour un français d’aller acheter un business aux US, mais ne sait-on jamais…

Et pour les gros business en ligne, vous pouvez aller voir les autres sites partagés un peu plus haut sur des places de marché comme Dotmarket ou encore Flippa.

Investir dans des tiny houses pour les louer sur Airbnb

Il est tout à fait possible (sous certaines conditions) d’acheter des tiny houses pour les poser sur des terrains non constructibles. Vous pouvez soit acheter ces terrains, soit les louer à quelqu’un.

Comme je l’expliquais récemment dans une des éditions Premiums de Snowball, les tiny houses sont à la mode et cartonnent sur Airbnb. Ces petites maisons sont souvent beaucoup moins chères à l’achat qu’une maison ou un appartement classique, mais elles se louent à des prix très élevés sur Airbnb. De ce fait, le retour sur investissement est souvent plus élevé qu’un appartement traditionnel. Quelques exemples trouvés :

Conclusion

J’espère que cette édition vous a plu et qu’elle vous a donné quelques idées.

Lancer un side project n’est pas évident et lancer un side business encore moins ! Celles et ceux qui essayent de vous vendre du rêve sur les réseaux sociaux en vous faisant miroiter des revenus passifs sans rien faire ont très souvent tort. Je parle notamment des vendeuses de formations en dropshipping. Je n’ai rien contre le dropshipping (le fait de vendre des produits sans avoir de stock), mais faire croire que c’est simple est pour moi une forme de marketing coercif.

Bref, je m’éloigne.

Si vous voulez lancer un side business, j’ai trouvé cette réflexion de Magalie sous un de mes posts LinkedIn extrêmement pertinente et intéressante. Je vous la partage donc :

Il est en effet souvent plus simple de partir d’un side project sans trop de prétention et sans risque, pour ensuite le transformer en side business plutôt que de se lancer directement dans le grand bain.

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